Créée en 1994 à Sion, l’Œuvre suisse d’entraide ouvrière du Valais a déjà aidé des milliers de personnes. Coup de projecteur sur cinq facettes de la structure, présentées par des employées.
C’est en 1994 que l’Œuvre suisse d’entraide ouvrière (OSEO) a commencé ses activités de réinsertion en Valais. Elle était alors surtout destinée aux personnes au chômage. «Les activités se passaient dans les locaux des anciens abattoirs de la ville de Sion», explique Luis Vaudan, l’actuel directeur. Peu à peu, la structure a élargi ses prestations réparties dans six sites différents.
En 2015, est né le souhait de rassembler tous les secteurs d’activité au sein d’un même bâtiment. Le nouvel espace a vu le jour en 2020, dans un autre quartier de la capitale. Aujourd’hui, chaque année, quelque 1000 personnes issues du chômage, de l’aide sociale, de l’AI ou de l’Office de l’asile sont accompagnées par l’OSEO Valais.
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Le Nouvelliste du 16 juillet 2024
Par Christine Savioz / Photos Sabine Papilloud